Samedi 29 mars 2014 : LE SALAIRE DE LA PEUR… (Par notre Yves MONTAND à nous… Marco HIRT !)

Une victoire à l’arrachée obtenue de justesse, plus que par l’effort. Un match à ne pas citer en référence tellement la prestation de notre équipe  a été inégale, désordonnée et au combien fébrile…

IMG_9314

Pour preuve… Nous perdions sur le score de 5 à 8 à la mi-temps de la rencontre alors que l’équipe du pays Sierckois évoluait avec un joueur en moins.

IMG_9366

Le repos, avant la reprise de la deuxième période nous fut bénéfique par l’intervention énergique et justifiée de notre maître vénérable – Pascal, petit Panda – qui sut insuffler au sein de notre équipe moribonde un nouvel élan, apporter un nouveau schéma de jeu et nous indiquer une nouvelle ligne de conduite.

IMG_9328

Et le miracle opéra ! À la 33′ notre équipe avait remonté son handicap de 3 buts (buteurs : Laurent, Martial et Julien), avant de devancer pour la première fois sa rivale à la 42′ et de mener 14 à 11 à la 46′.

IMG_9339

Mais voilà que le « soufflet allait retomber », que nos travers allaient refaire surface, que notre jeu devenait brouillon, nos pertes de balle plus nombreuses, nos offensives stériles par nos tirs mal cadrés, trop mous ou encore détournés par le portier adverse.

Le doute s’installa, et relança l’équipe de SIERCK, plus combative, hargneuse et réaliste, qui revint à notre hauteur à la 57′, à 16 partout.

L’angoisse venait de remplacer le doute ; l’angoisse et la peur venaient de s’inviter à la fête, planant sur le terrain et sur notre banc, les carottes allaient-elles être cuites ?

Les mouches auraient-elles changé d’âne ?

L’idée de la défaite pointait déjà dans bien des esprits.

Allions-nous déchanter ? Entendre sonner le glas ?

IMG_9315

Or un second miracle se produisit sous nos yeux incrédules, hébétés… notre petit ailier de poche Romain allait planter deux banderilles à l’équipe adverse durant la 58′, lui qui jusqu’alors, ne put concrétiser qu’une seule de ses « envolées » ; tout comme Thibaud notre portier, qui nous gratifia alors, de l’une de ses plus belles parades ; la messe était dite et le sort de la rencontre scellé.

L’équipe de SIERCK, dépitée, décocha un dernier tir non cadré et précipité. Et Constant de se dire tout bas, au coup de sifflet final, que nous l’avions échappé belle…